Initialement, la Banque de France avait prévu 0,4 % de croissance pour le premier trimestre. Ce taux a été corrigé à 0,3 % dans le cadre de l'enquête de conjoncture de février. Pour mémoire, le taux de croissance avait été de 0,1 % au dernier trimestre 2014. La révision à la baisse de la croissance s'explique par une détérioration du climat des affaires dans l'industrie de deux points en février et par une hausse de seulement un point pour les services. Le taux d'utilisation des capacités de production est bas à 76,5 % en retrait de 0,2 point en février. Par ailleurs, la situation reste compliquée dans le bâtiment.
Les carnets de commande sont jugés corrects et les stocks sont stables. Une hausse de la production industrielle est attendue en mars. En revanche, pour le bâtiment, les chefs d'entreprises n'espèrent pas une reprise au cours de ce mois.
Les carnets de commande sont jugés corrects et les stocks sont stables. Une hausse de la production industrielle est attendue en mars. En revanche, pour le bâtiment, les chefs d'entreprises n'espèrent pas une reprise au cours de ce mois.
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