La dette est repassé en dessus des 97 % du PIB à la fin du troisième trimestre. Elle représente désormais 96,9 % du PIB soit 2 103,2 Md€, en baisse de 2,2 Md€ par rapport au trimestre précédent. Exprimée en pourcentage du PIB, elle diminue de 0,7 point par rapport au deuxième trimestre 2015. La dette publique nette décroît plus légèrement (-1,4 Md€).
Les évolutions de la dette publique en cours d'année sont fréquentes. En fonction des dates d'échéances des emprunts passés et des rentrées fiscales, le niveau d'endettement varie. Au 3ème trimestre, il y a en règle général un recul. Il n'en demeure pas moins que la tendance est à la hausse...
Au troisième trimestre 2015 la contribution des administrations publiques locales (Apul) à la dette diminue (–1,6 Md€). Les communes remboursent 0,3 Md€ de prêts, les départements 0,7 Md€ et les régions 0,7 Md€. Le reste des Apul (syndicats intercommunaux, organismes divers d'administration locale) contribue pour +0,1 Md€.
La contribution de l'État à la dette décroît de 1,1 Md€. Cette baisse provient pour l'essentiel de la dette négociable à court terme (–2,0 Md€). Les dépôts des correspondants au Trésor augmentent légèrement (+0,7 Md€). Les encours de titres de créances à long terme et de prêts à court et long terme restent stables. Sur cette période, aucune opération n'a été réalisée dans le cadre du Fonds européen de stabilité financière (FESF, cf. encadré « Pour en savoir plus »). Par ailleurs, la contribution des organismes divers d'administration centrale (Odac) à la dette est stable.
La dette des administrations de sécurité sociale croît très légèrement
La contribution des administrations de sécurité sociale (Asso) à la dette augmente faiblement (+0,5 Md€) surtout du fait de l'Unedic (+1,1 Md€), de la Cnaf (+0,9 Md€) et de l'Acoss (+0,8 Md€). Au contraire, la Cades rembourse 1,3 Md€ de titres de créances négociables et 0,8 Md€ de dépôts de garantie.
La contribution de l'État à la dette décroît de 1,1 Md€. Cette baisse provient pour l'essentiel de la dette négociable à court terme (–2,0 Md€). Les dépôts des correspondants au Trésor augmentent légèrement (+0,7 Md€). Les encours de titres de créances à long terme et de prêts à court et long terme restent stables. Sur cette période, aucune opération n'a été réalisée dans le cadre du Fonds européen de stabilité financière (FESF, cf. encadré « Pour en savoir plus »). Par ailleurs, la contribution des organismes divers d'administration centrale (Odac) à la dette est stable.
La dette des administrations de sécurité sociale croît très légèrement
La contribution des administrations de sécurité sociale (Asso) à la dette augmente faiblement (+0,5 Md€) surtout du fait de l'Unedic (+1,1 Md€), de la Cnaf (+0,9 Md€) et de l'Acoss (+0,8 Md€). Au contraire, la Cades rembourse 1,3 Md€ de titres de créances négociables et 0,8 Md€ de dépôts de garantie.
Dette au sens de Maastricht des administrations publiques en point de PIB (*)