Le chômage, la stagnation du pouvoir d'chat et l'absence de perspectives sont autant de facteurs qui jouent contre l'automobile. Avec les difficultés du bâtiment, le recul est en revanche net pour les véhicules industriels, -13,2 % sur un an. Dans ces conditions, il n'est pas étonnant que les ménages aient reporté leur décision d'achat automobile l'année dernière. Ainsi, sur 12 mois, le marché n'a progressé que de 0,3 %. Le mois de décembre a été très mauvais avec un recul de 6,8 %.
Dans ce contexte dégradé, les marques françaises ont plutôt bien résisté profitant du renouvellement de leur gamme. La part de marché des constructeurs français progresse de 3,2 points et s'établit à 57,15 %. Le Groupe Renault progresse de 5,5 % avec 577 625 voitures immatriculées. Il capte 26,64 % des parts de marchés. C'est la marque low cost qui connaît la plus forte progression avec un gain de 12,9 % et 105 896 immatriculations. Elle représente près d'un cinquième des immatriculations du groupe. Dacia est désormais la cinquième marque la plus vendue en France avec près de 5 % des parts de marché. Renault progresse de 3,9 % sur l'année. Le groupe PSA, après les tourments de 2013, s'est légèrement redressé avec un gain de 1,3 %. Au niveau des marques, Peugeot gagne 4 %, Citroën 2,5 % mais la marque DS s'effondre avec -27 %. Le groupe PSA a immatriculé 659 201 voitures et représente 30,41 % des parts de marché en France.
Pour les marques étrangères, le Groupe Volkswagen a connu une année difficile en retrait de 0,9 % avec 256 915 voitures immatriculées. Seule la marque Volkswagen progresse. Audi recule de 4,4 %. Le groupe Fiat recule de 0,8 %, le groupe Toyota également avec -4,7 %. Les groupes BMW et Mercedes sont stables avec respectivement des gains de 0,1 et 1,1 %. Parmi les gagnants de l'année figure Nissan qui progresse de 7,6 % avec 77 413 voitures immatriculées. La marque Nissan est désormais la 6ème la plus vendue en France. Le Groupe Ford a également connu une progression en 2014 avec +2,1 %. Dans les retraits les plus forts, il faut mentionner le groupe GM (Opel...) avec -18 % et le groupe Hyundai (Kia Hyundai) avec -23,6 %.
Pour 2015, surtout dans les premiers mois, il n'y a pas de retournement d'attendu. Néanmoins, la baisse du cours du pétrole et l'amélioration de l'emploi attendue au cours du second semestre devrait permettre une progression des ventes.
Dans ce contexte dégradé, les marques françaises ont plutôt bien résisté profitant du renouvellement de leur gamme. La part de marché des constructeurs français progresse de 3,2 points et s'établit à 57,15 %. Le Groupe Renault progresse de 5,5 % avec 577 625 voitures immatriculées. Il capte 26,64 % des parts de marchés. C'est la marque low cost qui connaît la plus forte progression avec un gain de 12,9 % et 105 896 immatriculations. Elle représente près d'un cinquième des immatriculations du groupe. Dacia est désormais la cinquième marque la plus vendue en France avec près de 5 % des parts de marché. Renault progresse de 3,9 % sur l'année. Le groupe PSA, après les tourments de 2013, s'est légèrement redressé avec un gain de 1,3 %. Au niveau des marques, Peugeot gagne 4 %, Citroën 2,5 % mais la marque DS s'effondre avec -27 %. Le groupe PSA a immatriculé 659 201 voitures et représente 30,41 % des parts de marché en France.
Pour les marques étrangères, le Groupe Volkswagen a connu une année difficile en retrait de 0,9 % avec 256 915 voitures immatriculées. Seule la marque Volkswagen progresse. Audi recule de 4,4 %. Le groupe Fiat recule de 0,8 %, le groupe Toyota également avec -4,7 %. Les groupes BMW et Mercedes sont stables avec respectivement des gains de 0,1 et 1,1 %. Parmi les gagnants de l'année figure Nissan qui progresse de 7,6 % avec 77 413 voitures immatriculées. La marque Nissan est désormais la 6ème la plus vendue en France. Le Groupe Ford a également connu une progression en 2014 avec +2,1 %. Dans les retraits les plus forts, il faut mentionner le groupe GM (Opel...) avec -18 % et le groupe Hyundai (Kia Hyundai) avec -23,6 %.
Pour 2015, surtout dans les premiers mois, il n'y a pas de retournement d'attendu. Néanmoins, la baisse du cours du pétrole et l'amélioration de l'emploi attendue au cours du second semestre devrait permettre une progression des ventes.
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