Le déficit budgétire continue de se dégrader. Ainsi, au 31 août 2014, le solde budgétaire est déficitaire à hauteur de 94,1 Md€, contre 93,6 Md€ à fin août 2013
.
Bercy explique cette dérive par les dépenses exceptionnelles du nouveau programme d’investissements d’avenir.
Les dépenses (budget général et prélèvements sur recettes) atteignent 253,9 Md€ au 31 août 2014,
contre 257,5 Md€ au 31 août 2013, soit une diminution de 3,6 Md€.
Déduction faite des dépenses exceptionnelles en 2013 et 2014 (investissements d’avenir, dotation
au Mécanisme Européen de Stabilité et à la Banque Européenne d’Investissement), le montant des
dépenses ressort en diminution de 6,4 Md€ par rapport au 30 août 2013.
Du fait de la baisse des taux d'intérêt, la charge de la dette, en baisse de 1,5 Md€ par rapport à fin août 2013 (26,7 Md€ contre 28,2 Md€ en 2013).
Au 31 août 2014, les recettes du budget général (nettes des remboursements et dégrèvements)
s’établissent à 186,1 Md€ contre 190,8 Md€ à fin août 2013, soit une baisse de 4,7 Md€
.
Cette évolution est liée à la diminution du produit de l’impôt sur les sociétés, qui s’explique en
particulier par l’entrée en vigueur du crédit d’impôt en faveur de la compétitivité et de l’emploi
(CICE).
S’agissant de l’impôt sur le revenu, l’écart constaté à fin août par rapport à la même période l’année
dernière résulte en partie d’un effet calendaire lié à la fusion des avis d’imposition d’impôt sur le
revenu et de contributions sociales.
Le produit des recettes non fiscales à fin août s’établit à 7,4 Md€, soit 0,7 Md€ en-deçà du niveau
observé à la même date en 2013. Cet écart est lié principalement à un effet calendaire sur le
versement des dividendes partiellement compensé par la perception de prélèvements sur les fonds
d’épargne de la Caisse des dépôts et consignations. Il n’est pas significatif à ce stade de l’exercice
car l’Etat perçoit une part substantielle de ces ressources en fin d’année.
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Bercy explique cette dérive par les dépenses exceptionnelles du nouveau programme d’investissements d’avenir.
Les dépenses (budget général et prélèvements sur recettes) atteignent 253,9 Md€ au 31 août 2014,
contre 257,5 Md€ au 31 août 2013, soit une diminution de 3,6 Md€.
Déduction faite des dépenses exceptionnelles en 2013 et 2014 (investissements d’avenir, dotation
au Mécanisme Européen de Stabilité et à la Banque Européenne d’Investissement), le montant des
dépenses ressort en diminution de 6,4 Md€ par rapport au 30 août 2013.
Du fait de la baisse des taux d'intérêt, la charge de la dette, en baisse de 1,5 Md€ par rapport à fin août 2013 (26,7 Md€ contre 28,2 Md€ en 2013).
Au 31 août 2014, les recettes du budget général (nettes des remboursements et dégrèvements)
s’établissent à 186,1 Md€ contre 190,8 Md€ à fin août 2013, soit une baisse de 4,7 Md€
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Cette évolution est liée à la diminution du produit de l’impôt sur les sociétés, qui s’explique en
particulier par l’entrée en vigueur du crédit d’impôt en faveur de la compétitivité et de l’emploi
(CICE).
S’agissant de l’impôt sur le revenu, l’écart constaté à fin août par rapport à la même période l’année
dernière résulte en partie d’un effet calendaire lié à la fusion des avis d’imposition d’impôt sur le
revenu et de contributions sociales.
Le produit des recettes non fiscales à fin août s’établit à 7,4 Md€, soit 0,7 Md€ en-deçà du niveau
observé à la même date en 2013. Cet écart est lié principalement à un effet calendaire sur le
versement des dividendes partiellement compensé par la perception de prélèvements sur les fonds
d’épargne de la Caisse des dépôts et consignations. Il n’est pas significatif à ce stade de l’exercice
car l’Etat perçoit une part substantielle de ces ressources en fin d’année.
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