Est-ce la trêve des confiseurs, est-ce la fin de l'année mais l'INSEE fait preuve d'optimisme dans le cadre de sa dernière note de conjoncture.
L'INSEE souligne que l'activité mondiale s'est améliorée au cours du deuxième semestre grâce aux pays anglo-saxons. En revanche, la croissance en zone euro est restée modeste (+0,2 %), avec une
quasi-stagnation en Allemagne et en Italie. Pour l'INSEE, l’activité en France s’est révélée un peu plus dynamique que prévu. Par ailleurs, la reprise s’est confirmée en Espagne. Le Japon, quant à lui, est à nouveau en récession. Les économies émergentes continuent de progresser plus lentement que leur tendance, ralentissant notamment en Chine, au Brésil et en Russie.
L'INSEE est optimiste pour les prochains mois en particulier pour les États-Unis et au Royaume-Uni au premier semestre 2015.
De manière plus étonnante, l'INSEE considère que dans la zone euro, un certain nombre de freins se sont desserrés à l’automne. La dépréciation de l’euro, la baisse du cours du pétrole devraient favoriser le pouvoir d'achat des ménages et contribuer à améliorer la situation des entreprises. Il est attendu une progression de la consommation. Par ailleurs, toujours pour l'INSEE, la France devrait connaître un contexte plus favorable avec un desserrement au niveau des dépenses de logement. Ensuite, le climat
des affaires est mieux orienté dans les dernières enquêtes de conjoncture et la situation financière
des entreprises s’améliorera début 2015 avec la montée en charge du CICE et l’instauration du Pacte
de responsabilité et de solidarité, ce qui leur permettrait d’accélérer légèrement leurs dépenses
d’investissement productif.
L’économie française devrait connaître une croissance de 0,1 % au quatrième trimestre et de 0,3 % au premier trimestre 2015.
La dégradation du marché de l'emploi devrait s'arrêter au cours du premier semestre 2015. En tenant compte des branches non marchandes, l’emploi total progresserait légèrement (+18 000 sur le semestre). La population active s’accroissant toutefois un peu plus vite, le taux de chômage augmenterait de nouveau pour atteindre en France 10,6 % mi-2015.
L'INSEE reste, en revanche,dubitatif pour l'investissement.
lire la note de conjoncture de l'INSEE
L'INSEE souligne que l'activité mondiale s'est améliorée au cours du deuxième semestre grâce aux pays anglo-saxons. En revanche, la croissance en zone euro est restée modeste (+0,2 %), avec une
quasi-stagnation en Allemagne et en Italie. Pour l'INSEE, l’activité en France s’est révélée un peu plus dynamique que prévu. Par ailleurs, la reprise s’est confirmée en Espagne. Le Japon, quant à lui, est à nouveau en récession. Les économies émergentes continuent de progresser plus lentement que leur tendance, ralentissant notamment en Chine, au Brésil et en Russie.
L'INSEE est optimiste pour les prochains mois en particulier pour les États-Unis et au Royaume-Uni au premier semestre 2015.
De manière plus étonnante, l'INSEE considère que dans la zone euro, un certain nombre de freins se sont desserrés à l’automne. La dépréciation de l’euro, la baisse du cours du pétrole devraient favoriser le pouvoir d'achat des ménages et contribuer à améliorer la situation des entreprises. Il est attendu une progression de la consommation. Par ailleurs, toujours pour l'INSEE, la France devrait connaître un contexte plus favorable avec un desserrement au niveau des dépenses de logement. Ensuite, le climat
des affaires est mieux orienté dans les dernières enquêtes de conjoncture et la situation financière
des entreprises s’améliorera début 2015 avec la montée en charge du CICE et l’instauration du Pacte
de responsabilité et de solidarité, ce qui leur permettrait d’accélérer légèrement leurs dépenses
d’investissement productif.
L’économie française devrait connaître une croissance de 0,1 % au quatrième trimestre et de 0,3 % au premier trimestre 2015.
La dégradation du marché de l'emploi devrait s'arrêter au cours du premier semestre 2015. En tenant compte des branches non marchandes, l’emploi total progresserait légèrement (+18 000 sur le semestre). La population active s’accroissant toutefois un peu plus vite, le taux de chômage augmenterait de nouveau pour atteindre en France 10,6 % mi-2015.
L'INSEE reste, en revanche,dubitatif pour l'investissement.
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