mardi 28 février 2017

La consommation rebondit grâce aux frimas de janvier

Selon l'INSEE, au mois de janvier, la consommation des ménages en biens a repris des couleurs en progressant en volume de 0,6 % faisant suite à une contraction de 1 % au mois de décembre dernier.  Du fait du froid du mois de janvier et de l'augmentation des prix., les dépenses en énergie progressent fortement. Par ailleurs, les achats de produits alimentaires sont en hausse. En revanche, les achats de biens durables sont en recul. 

La consommation totale de biens

  • Source : Insee

vendredi 24 février 2017

Les ménages gardent le cap

Selon l'INSEE, au mois de février la confiance des ménages dans la situation économique reste et se maintient à 100, sa moyenne de longue période. On peut donc considérer que les Français sont relativement confiants au regard de la situation de ces dernières années.

 Les ménages jugent que leur situation financière personnelle se maintient proche de la normale. Ainsi, en février, l'opinion des ménages sur leur situation financière passée est stable pour le deuxième mois consécutif. Leur opinion sur leur situation financière personnelle future est quasi stable. La proportion de ménages estimant qu'il est opportun de faire des achats importants augmente de 3 points et est supérieur à sa moyenne de longue période depuis maintenant deux ans. Il atteint son plus haut depuis juillet 2007.

En février, le solde d'opinion des ménages sur leur capacité d'épargne future s'améliore (+4 points), ainsi que leur opinion concernant leur capacité d'épargne actuelle (+3 points). Les deux soldes se situent au-dessus de leur moyenne de long terme.

Les ménages estimant qu'il est opportun d'épargner sont également plus nombreux : le solde correspondant gagne 3 points. Il demeure cependant nettement inférieur à sa moyenne de longue période.


Indicateur synthétique de confiance des ménages

                             Source : Insee

 Soldes d'opinion sur la situation financière personnelle et le niveau de vie en France


  • Source : Insee
 En février, l'opinion des ménages sur le niveau de vie passé en France est quasi stable ; le solde correspondant se situe 4 points au-dessous de sa moyenne de long terme. Leur opinion sur le niveau de vie futur en France est lui aussi quasiment inchangé : le solde se situe juste au-dessus de son niveau moyen de longue période.

Les craintes des ménages sur le chômage sont quasiment stables en février. Le solde demeure inférieur à sa moyenne de long terme pour le quatrième mois consécutif.

En février, les ménages sont un peu moins nombreux qu'en janvier à considérer que les prix ont augmenté au cours des douze derniers mois : le solde perd 2 points. Il demeure ainsi largement inférieur à sa moyenne de long terme. A priori, les Français ne perçoivent pas encore le retour de l'inflation. Ils sont nettement moins nombreux qu'en janvier à anticiper une hausse des prix au cours des douze prochains mois : le solde diminue de 8 points, après une hausse de 19 points au cours des deux mois précédents. Il demeure néanmoins supérieur à sa moyenne de longue période pour le troisième mois consécutif.


 Opinion des ménages sur le chômage


  • Source : Insee

Le chômage fait-il un peu de résistance en janvier ?

Malgré les bons indicateurs publiés par l'INSEE sur le climat des affaires et la confiance des ménages, le chômage fait de la résistance.

Le nombre de chômeurs en France métropolitaine inscrits à Pôle emploi en catégorie A s'est accru de 800 ce qui représente l'épaisseur du trait. Fin  janvier, il y avait donc  3,47 millions de personnes en catégorie A. Pour l'ensemble de la France, ce nombre est de 3,72 millions de personnes.

En ajoutant les demandeurs d'emploi exerçant une petite activité (catégories B et C), l'indicateur a légèrement augmenté en janvier, de 0,4%, pour atteindre 5,49 millions de personnes en métropole.

Si le nombre de demandeurs d'emplois (catégorie A) diminue chez les moins de 25 ans et les 25/49 ans (respectivement -0,3 et -0,2 %), il continue d'augmenter chez les seniors de plus de 50 ans (+0,6 %). Il faut également remarquer que le nombre de demandeurs d'emploi diminue chez les femmes quand il augmente chez les hommes.

L'ancienneté au chômage reste stable. Elle est de 581 jours. 43,9 % des demandeurs sont au chômage depuis plus d'un an.

Les fins de CDD explique sur 3 mois  près d'un cinquième des entrée au chômage. Les radiations expliquent 9,5 % des sorties du chômage et les cessations d'inscription par défaut d'actualisation 38,5 %. Les entrées en stage expliquent 16,0 % des sorties et sont en hausse de 9,4 % en trois mois. C'est l'effet plan "formation" qui se fait ressentir.

En janvier, il y a fréquemment une arrivée sur le marché du travail. Des personnes qui avaient cessé de chercher en fin d'année s'y remettent à compter des premiers jours de janvier ce qui fait que ce mois est fréquemment mauvais en matière de chômage. Il est fort probable que les chiffres de l'INSEE sur la création de l'emploi restent bien orientés.

jeudi 23 février 2017

Le climat des affaires maintient le cap en janvier !

Selon l'INSEE, au mois de février, le climat des affaires est stable mais se maintient à un niveau convenable. L'indicateur qui le synthétise, calculé à partir des réponses des chefs d'entreprise des principaux secteurs d'activité, se situe quatre points au-dessus de sa moyenne de long terme (100). Le climat gagne un point dans l'industrie. Il est stable dans le bâtiment et les services. En revanche, il perd trois points dans le commerce de détail.

 Indicateur de climat des affaires France

L'indicateur de retournement reste en zone positive traduisant qu'aucune dégradation n'est attendue à court terme. 

Indicateurs du climat des affaires et de retournement France et sectoriels
 Oct. 16Nov. 16Déc. 16Jan. 17Fév. 17
Indicateurs du climat des affaires
France102102105104104
Industrie103102106106107
Bâtiment9699989999
Services101102106103103
Commerce de détail100104107106103
Commerce de gros-98-102-
Indicateurs de retournement
France0,20,30,60,40,7
Industrie0,30,40,70,80,8
Bâtiment–0,20,30,40,70,7
Services–0,4–0,20,80,20,6
Commerce de gros-0,0-0,9-
  • Sources : Insee, enquêtes de conjoncture

 Indicateur de retournement France

  • Lecture: proche de +1 (resp. −1) : climat conjoncturel favorable (défavorable). Entre +0,3 et −0,3 : zone d'incertitude conjoncturelle.

mardi 21 février 2017

Petit bond en avant de l'inflation en France : 1,3 % en rythme annuel

Selon l'INSEE, au mois de  janvier, l'indice des prix à la consommation (IPC) a baissé de 0,2 % sur un mois, après une hausse de 0,3 % en décembre. Corrigé des variations saisonnières, il augmente de 0,7 %, après +0,1 % en décembre. Sur un an, les prix à la consommation sont orientés à la hausse. le taux d'inflation passe de 0,6 à 1,3 % de décembre à janvier et atteint ainsi son plus haut niveau depuis novembre 2012.

La hausse des prix est toujours la conséquence de l'augmentation des prix du pétrole. Il y a un fort effet base car le prix du pétrole était au plus bas entre janvier et février 2016. 
Sur le mois, le recul est dû à la baisse saisonnière des prix des produits manufacturés, notamment ceux de l'habillement et des chaussures. Néanmoins, cette baisse est moins forte qu'en janvier 2016, surtout en raison d'un début des soldes d'hiver plus tardif cette année. La baisse d'ensemble est atténuée par la nette accélération des prix de l'énergie et, dans une moindre mesure, des prix de l'alimentation.

En janvier 2017, les prix de l'énergie accélèrent vivement (+4,5 %) après déjà quatre mois de hausses consécutives. Sur un an, l'augmentation des prix s'accentue nettement : +10,3 % après +4,3 % le mois précédent. Il s'agit de la plus forte hausse depuis novembre 2011.

jeudi 16 février 2017

BFM Business : 15 février 2017 : alors le retour de l'inflaton


Léger recul du chômage en France

Le taux de chômage au sens du Bureau International du Travail  de la France métropolitaine s'est abaissé à 9,7 % au 4e trimestre de l'année dernière en recul de 0,1 point par r apport au 3e trimestre. Pour l'ensemble de la France ce taux est de  quatrième trimestre 2016, le taux de chômage au sens du BIT est de 10,0 % de la population active en France, après 10,1 % au troisième trimestre.

Le taux de chômage  s'est réduit pour les jeunes et les personnes âgées de 50 ans ou plus, alors qu'il a augmenté  pour celles de 25 à 49 ans. Sur un an, le taux de chômage baisse de 0,2 point.

Parmi les chômeurs, 1,2 million déclarent rechercher un emploi depuis au moins un an. Au quatrième trimestre 2016, le taux de chômage de longue durée s'établit à 4,2 % de la population active. Il diminue de 0,1 point par rapport au troisième trimestre 2016 et au quatrième trimestre 2015.
 

Taux de chômage au sens du BIT

  • Estimation à +/- 0,3 point près du niveau du taux de chômage et de son évolution d'un trimestre à l'autre
  • Champ : population des ménages, personnes de 15 ans ou plus
  • Source : Insee, enquête Emploi
 

 Taux de chômage BIT en France métropolitaine

Données CVS, en moyenne trimestrielle
Taux de chômage BIT en France métropolitaine
 En % de la population activeVariation en points sur unMilliers
 2016T32016T4 (p)trimestrean2016T4 (p)
Personnes au chômage9,89,7–0,1–0,22 783
15-24 ans25,023,3–1,7–0,7627
25-49 ans8,89,00,2–0,21 597
50 ans ou plus7,16,7–0,40,0559
Hommes9,89,80,0–0,61 472
15-24 ans24,824,0–0,8–1,5352
25-49 ans8,58,80,3–0,7814
50 ans ou plus7,57,2–0,30,0306
Femmes9,89,5–0,30,11 311
15-24 ans25,122,5–2,60,3275
25-49 ans9,19,20,10,2783
50 ans ou plus6,66,1–0,5–0,2252
Personnes au chômage de longue durée4,34,2–0,1–0,11 223
  • (p) = provisoire
  • Champ : France métropolitaine, population des ménages, personnes de 15 ans ou plus
  • Source : Insee, enquête Emploi
En France métropolitaine, parmi les personnes inactives au sens du BIT, 1,5 million souhaitent un emploi sans être comptées comme chômeurs au sens du BIT : elles constituent le halo autour du chômage. Ce halo progresse assez fortement depuis la crise de 2009.

Au quatrième trimestre 2016, le nombre de personnes concernées a augmenté de 21 000 par rapport au trimestre précédent, et de 65 000 sur un an.
  Personnes dans le halo autour du chômage
  • Champ : France métropolitaine, population des ménages, personnes de 15 ans ou plus
  • Source : Insee, enquête Emploi


Au quatrième trimestre 2016, le taux d'emploi des 15-64 ans atteint 64,7 %. Il augmente de 0,1 point par rapport au trimestre précédent. Il se redresse pour les jeunes et s'accroît légèrement pour les personnes de 50-64 ans. Cependant, il diminue pour celles de 25 à 49 ans. Sur un an, le taux d'emploi augmente de 0,3 point.
Le taux d'emploi en équivalent temps plein des 15-64 ans est stable au quatrième trimestre, à 59,9 %.
Le taux d'emploi à temps complet se maintient à 53,0 % au quatrième trimestre 2016. Sur un an, il augmente de 0,4 point. Le taux d'emploi à temps partiel est stable à 11,7 %. Il diminue de 0,1 point par rapport à fin 2015.
Au quatrième trimestre 2016, le taux d'emploi en contrat à durée indéterminée (CDI) des 15-64 ans atteint 48,7 %. Il augmente de 0,2 point par rapport au troisième trimestre, et de 0,1 point sur un an. Le taux d'emploi en contrat à durée déterminée (CDD) ou en intérim s'établit à 7,5 %. Il s'accroît de 0,1 point par rapport au trimestre précédent et sur un an.
 

 Taux d'emploi BIT dans la population des 15-64 ans

Données CVS, en moyenne trimestrielle
Taux d'emploi BIT dans la population des 15-64 ans
 En % de l'ensemble de la tranche d'âgeVariation en points sur un
 2016T32016T4 (p)trimestrean
Personnes en emploi64,664,70,10,3
Hommes68,168,20,10,6
Femmes61,361,40,10,1
15-24 ans27,528,51,00,1
25-49 ans80,480,1–0,30,0
50-64 ans60,760,80,10,9
Dont : 55-64 ans50,150,20,11,2
CDI48,548,70,20,1
CDD/intérim7,47,50,10,1
Temps complet53,053,00,00,4
Temps partiel11,711,70,0–0,1
Taux d'emploi en équivalent temps plein59,959,90,00,3
  • (p) = provisoire
  • Champ : France métropolitaine, population des ménages, personnes de 15 à 64 ans
  • Source : Insee, enquête Emploi
 

 Taux d'emploi par âge

  • Champ : France métropolitaine, population des ménages, personnes de 15 à 64 ans
  • Source : Insee, enquête Emploi
Au quatrième trimestre 2016, 6,2 % des personnes en emploi sont en situation de sous-emploi, soit 0,1 point de moins qu'au trimestre précédent, et 0,4 point de moins qu'un an auparavant. Le sous-emploi concerne principalement des personnes à temps partiel qui souhaiteraient travailler davantage. Le chômage partiel représente quant à lui 0,2 % des personnes en emploi.
Le taux d'activité des 15-64 ans s'établit à 71,7 % au quatrième trimestre 2016, comme au trimestre précédent. Sur un an, il augmente de 0,1 point.
 

Taux d'activité BIT dans la population des 15-64 ans

Données CVS, en moyenne trimestrielle
Taux d'activité BIT dans la population des 15-64 ans
 En % de l'ensemble de la tranche d'âgeVariation en points sur un
 2016T32016T4 (p)trimestrean
Personnes actives71,771,70,00,1
Hommes75,575,70,20,1
Femmes68,067,8–0,20,0
15-24 ans36,737,10,4–0,3
25-49 ans88,188,10,0–0,1
50-64 ans65,465,3–0,10,9
Dont : 55-64 ans54,054,10,11,3
  • (p) = provisoire
  • Champ : France métropolitaine, population des ménages, personnes de 15 à 64 ans
  • Source : Insee, enquête Emploi

mardi 14 février 2017

L'automobile sauve les soldes

Selon la Banque de France, en janvier, les ventes  du commerce de détail ont progressé de 0,5 % grâce aux  produits alimentaires (+1,0 %). 

Les produits industriels sont en légère baisse (-0,2 %). La progression des ventes de l’électronique grand public et des équipements automobiles est compensée par le recul de la parfumerie, du textile-habillement et de la chaussure, témoignant de soldes plutôt décevantes. 

Sur les trois derniers mois, les ventes du commerce de détail augmentent de 0,1 % (données en volumes cvs-cjo). Les produits alimentaires et les produits industriels progressent très légèrement (respectivement +0,1 % et 0,2 %). Les ventes sont en hausse pour l’automobile mais en baisse pour l’électronique grand public. Les ventes du petit commerce sont stables. La grande distribution croît (+0,5 %) : les grands magasins sont en hausse (+5,9 %) ainsi que la vente à distance (+3,1 %) et les supermarchés (+0,5 %), tandis que les hypermarchés sont en recul (-0,6 %). 

La création d'entreprise repart à la hausse

Contrairement à quelques idées reçues, la France figure parmi les pays où il y a le plus de créations d'entreprise. Les derniers chiffres publiés par l'INSEE prouve, une fois de plus, de la vitalité du tissu économique français. 

Au mois de janvier, le nombre total de créations d'entreprises tous types d'entreprises confondus a progressé de +1,5 % contre une baisse de  2,6 % en décembre (en données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables). Les créations d'entreprises classiques progressent de 1,1 % ainsi que les immatriculations de micro-entrepreneurs (+2,0 %). 

Le nombre cumulé de créations au cours des trois derniers mois accélère nettement par rapport à la même période un an plus tôt (+7,7 % après +2,0 % en données brutes). Cette hausse concerne tous les types d'entreprises : les sociétés (+9,3 %), les entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+7,5 %) et les micro-entrepreneurs (+6,4 %). Le soutien aux entreprises et les transports sont encore les secteurs qui contribuent le plus à la hausse globale.

Sur un an, le nombre cumulé d'entreprises créées au cours des douze derniers mois continue d'augmenter (+6,2 % après +5,5 % en décembre et +5,7 % en novembre). Cet accroissement est surtout porté par les créations de sociétés (+9,8 %) et celles d'entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+9,6 %). Les immatriculations de micro-entrepreneurs repartent à la hausse (+1,4 % sur un an) pour la première fois depuis deux ans. Deux créations sur cinq sont des demandes d'immatriculations de micro-entrepreneurs. En janvier 2017, en données brutes, les demandes d'immatriculation de micro-entrepreneurs représentent, en effet, 40,2 % des entreprises créées au cours des douze derniers mois. Un an auparavant, la part était de 42,1 %.

Créations d'entreprises (CVS-CJO *)

  • * Données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables
  • Source : Insee, Sirene

jeudi 9 février 2017

Les touristes sont de retour

Après la forte chute de la fréquentation touristique du fait des attentats au cours des 3 premiers trimestres 2016, une remontée a été enregistrée en fin d'année. En effet, selon l'INSEE, au quatrième trimestre  en France métropolitaine, la fréquentation touristique dans les hébergements collectifs touristiques, exprimée en nuitées,a augmenté de 3,9 % par rapport à la même période de 2015, après deux trimestres consécutifs de baisse. Ce fort rebond compense  le repli enregistré un an plus tôt (−1,8 %), lié à l'impact des attentats. Le nombre de nuitées dépasse ainsi celui du quatrième trimestre 2014. Le rebond, particulièrement net pour la clientèle française (+4,3 %) mais les étrangers sont également de retour avec un gain en nuitées de 2,9 %.

La fréquentation dans les hôtels se redresse au quatrième trimestre (+4,9 % en glissement annuel), davantage pour la clientèle française (+5,7 %) que pour la clientèle étrangère (+3,0 %). Les nuitées augmentent particulièrement dans les hôtels de haut de gamme (4 ou 5 étoiles ; +9,9 %), surtout grâce à la clientèle française. Ce rebond de fréquentation concerne l'ensemble du territoire. Il est le plus net dans les zones urbaines de province (+6,9 %). Toutefois, la progression en Île-de-France (+4,5 %) ne permet pas d'y retrouver son niveau du quatrième trimestre 2014. Le taux d'occupation des chambres augmente nettement (+1,6 point sur un an), après deux trimestres de baisse.

 Nuitées dans les hôtels

  • Source : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT) et la DGE

Durée moyenne de séjour et taux d'occupation

Durée moyenne de séjour et taux d'occupation
Durée moyenne des séjours (en jours)Taux d'occupation ** en %
2015201620152016
T4T4 *T4T4 *
Hôtels1,71,753,354,9
AHCT3,53,550,852,4
Campings////////////
Emplacements nus////////////
Emplacements équipés////////////
  • * données provisoires - /// données non disponibles au T4
  • ** Le taux d'occupation est calculé en chambres pour les hôtels, en emplacements pour les campings et en unités d'hébergement (chambres, appartements, dortoirs) pour les autres hébergements collectifs.
  • Source : Insee, en partenariat avec les comités régionaux du tourisme (CRT) et la DGE